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dimanche 7 octobre 2012

La vieille charrue ou les irréductibles

Un collègue de travail me parle de son village où il est installé depuis une vingtaine d'année. Il me raconte que l'endroit est passé de la campagne à la ville. C'est un village que je connais de nom par sa bière, son couvent (de carmélites m'a-t-il appris) et ses trois F. Il me dit aussi qu'il y a deux décennies, son jardin jouxtait un champ dont l'exploitant refusait d'utiliser le tracteur et s'en tenait à son cheval et sa charrue. Cette anecdote tombe à pic pour que je puisse faire un rapprochement qui vous semblera, j'ose le croire, parlant. J'ai pendant quatre semaines gardé Internet Explorer comme navigateur. Surfer sur le web ne faisait pas partie de mes priorités, je me disais que je pouvais m’accommoder de cet antédiluvien logiciel de navigation et lui redonner, me disais-je, une seconde chance. De plus, je voulais faire une nette distinction entre mon ordinateur au bureau et mon pc personnel. J'ai donc eu affaire à IE, puis dans une accalmie de travail, j'ai fait comme chez moi, j'ai installé Mozilla. La différence est criante, je croyais avec Internet Explorer que mon ordinateur avait un problème. Mozilla est plus robuste, plus rapide, plus convivial et on ne doit pas installer tout le temps un plug-in manquant. Je le conseille vivement, je laisse ceux qui ne l'entendent pas de cette oreille utiliser leur vieille charrue.

mardi 20 septembre 2011

Le virus

J'ai acheté un nouvel ordinateur portable qui était équipé d'un antivirus temporaire. Je n'ai pas souhaité prendre un abonnement suite à son expiration. Dans la foulée, je ne pouvais plus ouvrir mon navigateur Mozilla, puis Chrome, non plus, ne pouvait me faire entrer dans l'internet. J'ai cherché du côté de mon pare-feu et j'ai désinstallé cet antivirus indésirable. Je pense que cet antivirus a neutralisé mes navigateurs pour faire monter chez moi la crainte d'un virus. Ma propension à faire coïncider les théories conspirationnistes avec les basses techniques commerciales appuient cette sinistre vision des choses.