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lundi 3 septembre 2012

Screen/read for you

Last week, the five articles generously provided to all the Smartphone's owner by The Economist's application were particularly interesting. For the first time in a while, I could read them and they gave me good reasons to subscribe once again. One was related to the Republican Convention in Tampa. as you know, Mitt Romney is the Obama's challenger, but few could explain who he is really and what he is capable to do. In France, we remain too blind to the Obama's failures, that's why we think that Romney has no chance at all. We underestimate the let-down and the end of His iconic status. But Mitt Romney doesn't seem to have the back bone. The word of the moment is Flip-flop : 
All politicians flip-flop from time to time : but Mr Romney could win an Olympic medal in it.
I am looking forward the American election, it is always the opportunity to get some sociology about American States particularism.
Step by step, Finland become one of the most powerful economy in Euro zone and seems to be less lax than the Germans. A few observers even think a “Fixit” (a Finnish exit from the euro) is more likely than a Grexit. To be continued....
I advise you to read also the article about the travel business which tries to understand why airlines are wonderful generators of profit—for everyone except themselves. Delightful paradox. I also read something about Computer viruses and relationship between Japan and China. 

It is quite easy to screen read. The shift happens without a clue. Paper books, be worry. When will I swipe up my magazine?

vendredi 27 janvier 2012

Le monde en 2012

L'éditorialiste Alexandre Adler a quitté France-Culture après une dizaine d'années de service. Il scénarisait les affaires internationales à travers sa vaste érudition, son goût pour les coulisses, les personnages de l'ombre au nom rarement évoqué dans la grande presse, les histoires intimes et son attrait pour la futurologie. Il aimait établir des prévisions et se trompait assez souvent. Il s'en amusait même, cela ne l'empêchait de continuer. En 2012, il y aura les élections présidentielles aux États-Unis. La voix du chroniqueur matinal va me manquer. Qui d'autre que lui aurait pu évoquer mormonisme et sociologie de la Caroline du sud, l’étymologie du prénom Newt et la vision république du conflit en Ossétie du Nord? On pourrait à profit se reporter sur un bon blog de correspondance ou The Economist, certes. Il y a aussi un bon article dans le hors-série The world in 2012 qui s'emploie à un pronostic assez réaliste et bien troussé. Pour ma part, je vous offre mon pronostic : Obama va gagner, porté par une légère embellie économique (chiffre du chômage, croissance et redécollage de l'industrie). Mitt Romney n'aura aucun argument à lui opposer.


J'aimerais, puisque j'évoque Barack Obama dire ici à quel point je suis bluffé par le génie marketing de son élection. Le slogan : Yes, we can est une fantastique trouvaille, digne du ceci n'est pas une pipe de Magritte. Il ne se passe pas une semaine (même quatre ans après) sans que je vois une camionnette de plomberie, un slogan publicitaire ou un badaud qui ne l'emploie.

mercredi 5 novembre 2008

Lendemains de liesse et à-propos

J'ai un peu honte de reprendre mot pour mot l' intervention d'un dénommé jmarc, d'un forum qui plus est, mais elle me semble particulièrement avisée au lendemain de liesse qui convulsionne les ravis du spectacle.
Par ailleurs, vous pouvez lire toutes les interventions de causeur.fr sur le sujet.

J'ai passé la nuit à suivre, par la toile, la soirée (nuit) électorale à la fois sur ABC, CNN... et la télévision française.


Tout cela m'a confirmé dans plusieurs de mes impressions :

- la nullité des journalistes français, qui ne connaissent rien à l'Amérique, et qui voient en M. Obama une sorte de Besancenot qui aurait réussi ;

- l'extrême dignité et la très grande correction de M. McCain ;

- l'habilité des états-majors politiques des deux grands partis, et l'efficacité redoutable des "tickets" (le site de CNN permettait d'avoir le vote comté par comté, et cela m'a permis d'observer que M. Biden et Mme Palin ont accompli leur mission : l'un "fixer" l'électorat "blue collar", l'autre mobiliser l'électorat conservateur, alors que les deux "hopefuls" étaient sans doute un peu trop centristes) ;

- la fermeté de M. Obama, et j'attends avec impatience que les journalistes français découvrent qu'il n'est pas de gauche.