La banale vidéo qui circule sur l'internet continue de provoquer réactions et remous qui font malgré tout les délices de la blogosphère en émoi. Nous recueillons pour notre part quelques réactions de quelques autorités qu'elles soient hautes zou petites.
Nicolas Sarkozy (Président de la République France 2009) : "si y en a qui croient qu'on peut ratonner comme ça en toute impunité, qui compte pas sur moi pour les laisser faire. J'irais moi même s'il le faut, montrer à ces abrutis de quel bois je me chauffe. C'est quand même pas acceptabe. Vous croyez vraiment que ce qui prend le bus tôt le matin ont envie d'être importuné. Nous vivons une période difficile, mes chers compatriotes, je demande à chacun de garder son calme, de ne pas sombrer dans la violence et ne pas se faire justice soi-même. L'Etat s'assurera et je m'y engage à garantir la sécurité de tous, car prendre le bus est une liberté. C'est pourquoi je demanderai à chaque policier de tenir des statistiques précises sur les ratonnades dans les bus, avec obligation de résultat".
Laurent Mucchielli (sociologue) : "Le phénomène des violences urbaines est un épiphénomènes qui ne peut pas en tant que tel faire l'objet d'un sujet d'étude scientifique et sérieux, les agressions dans le bus encore moins. La délinquance baisse, c'est un fait. Il ne faut pas prendre l'émoi occasionné par une vidéo que les médias ne jugent même pas bons de diffuser pour une réalité sociologique. Par ailleurs, on note que la taille des sujets est petite et leur accoutrement quasi-puéril, si ce n'est mimétique, il s'agit donc d'une délinquance juvénile confrontée tous les jours à la violence de parents incapables d'assumer leur rôle, brisés par le chômage. Le sociologue doit se méfier comme de la peste du café du commerce et du moralisme. L'agression dans les autobus est un phénomène ancien, qui est concommitant à l'utilisation des bus. Il faut juste remplacer les blousons noirs par les survets nike et on a la manifestation gonflée médiatiquement d'un phénomène ancien, bien accepté dans sa normalité normative par les groupes sociaux. Je crains pour ma part une explosion du phénomène de vidéosurveillance".
d'Almendralejo (moi-même) : "Ma nuit a été en partie gâchée, je n'ai pas pu lire comme je le souhaitais. Après mon jogging, j'ai joué à Pacman. Je crois que le policier qui a diffusé la vidéo a accomplit un acte de résistance, il a bravé son administration et risque de sévères peines. Comment les français peuvent-ils continuer à baisser la tête? C'est un peuple lâche, qu'on ne vienne pas me parler de résistance, sinon, je me fâche rouge et j'insulte sur mon blog".
La Halde.fr (Haute autorité) : "Monsieur, à la question de savoir si les actes montrés par la vidéo étaient à caractère raciste et discriminatoire, la réponse est non. Le groupe était selon les images hétérogène ethniquement, mixte et métis, l'interlocuteur était quant à elle uniformément homogène. Il y a manifestement une séquence qui ne revêt aucun caractère raciste, d'autant plus que l'injure proféré "sale français" émane de français eux-mêmes et rélève davantage d'une attitude masochiste. En revanche, nous notons une violation caractérisée des conditions de diffusion et de vie privée, c'est pourquoi nous transmettons dans les plus brefs délais le dossier à la commission nationale information et liberté (CNIL). Cordialement, la Halde"
Nicolas Sarkozy (Président de la République France 2009) : "si y en a qui croient qu'on peut ratonner comme ça en toute impunité, qui compte pas sur moi pour les laisser faire. J'irais moi même s'il le faut, montrer à ces abrutis de quel bois je me chauffe. C'est quand même pas acceptabe. Vous croyez vraiment que ce qui prend le bus tôt le matin ont envie d'être importuné. Nous vivons une période difficile, mes chers compatriotes, je demande à chacun de garder son calme, de ne pas sombrer dans la violence et ne pas se faire justice soi-même. L'Etat s'assurera et je m'y engage à garantir la sécurité de tous, car prendre le bus est une liberté. C'est pourquoi je demanderai à chaque policier de tenir des statistiques précises sur les ratonnades dans les bus, avec obligation de résultat".
Laurent Mucchielli (sociologue) : "Le phénomène des violences urbaines est un épiphénomènes qui ne peut pas en tant que tel faire l'objet d'un sujet d'étude scientifique et sérieux, les agressions dans le bus encore moins. La délinquance baisse, c'est un fait. Il ne faut pas prendre l'émoi occasionné par une vidéo que les médias ne jugent même pas bons de diffuser pour une réalité sociologique. Par ailleurs, on note que la taille des sujets est petite et leur accoutrement quasi-puéril, si ce n'est mimétique, il s'agit donc d'une délinquance juvénile confrontée tous les jours à la violence de parents incapables d'assumer leur rôle, brisés par le chômage. Le sociologue doit se méfier comme de la peste du café du commerce et du moralisme. L'agression dans les autobus est un phénomène ancien, qui est concommitant à l'utilisation des bus. Il faut juste remplacer les blousons noirs par les survets nike et on a la manifestation gonflée médiatiquement d'un phénomène ancien, bien accepté dans sa normalité normative par les groupes sociaux. Je crains pour ma part une explosion du phénomène de vidéosurveillance".
d'Almendralejo (moi-même) : "Ma nuit a été en partie gâchée, je n'ai pas pu lire comme je le souhaitais. Après mon jogging, j'ai joué à Pacman. Je crois que le policier qui a diffusé la vidéo a accomplit un acte de résistance, il a bravé son administration et risque de sévères peines. Comment les français peuvent-ils continuer à baisser la tête? C'est un peuple lâche, qu'on ne vienne pas me parler de résistance, sinon, je me fâche rouge et j'insulte sur mon blog".
La Halde.fr (Haute autorité) : "Monsieur, à la question de savoir si les actes montrés par la vidéo étaient à caractère raciste et discriminatoire, la réponse est non. Le groupe était selon les images hétérogène ethniquement, mixte et métis, l'interlocuteur était quant à elle uniformément homogène. Il y a manifestement une séquence qui ne revêt aucun caractère raciste, d'autant plus que l'injure proféré "sale français" émane de français eux-mêmes et rélève davantage d'une attitude masochiste. En revanche, nous notons une violation caractérisée des conditions de diffusion et de vie privée, c'est pourquoi nous transmettons dans les plus brefs délais le dossier à la commission nationale information et liberté (CNIL). Cordialement, la Halde"
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