Affichage des articles dont le libellé est dh. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est dh. Afficher tous les articles

mercredi 10 octobre 2012

Ouvrir un compte

Lorsque votre responsable vous laisse un peu trop de liberté et d'élasticité dans votre emploi du temps en vous contraignant à ne rien faire, vous pouvez commettre l'irréparable ou tomber dans des addictions peu recommandées par les instances de remboursement. C'est ainsi que découvrant les limites de l'internet, après l'avoir arpenter tout son long de 7h30 à 11h30, que j'ai ouvert un compte sur la dh pour commenter l'actualité et offrir ma vision du monde. Bien sûr, je n'essaie absolument pas d'élever le niveau. Je rédige des commentaires longs, verbeux, qui se veulent provocateur ou ingénu, mais toujours dans le respect de l'Institution que représente pour tous les fainéants de Wallonie la Déache. Pour preuve, ce petit commentaire après un article sur l'assassinat de Kevin :

La DH est mon quotidien favori, mais s'il vous plaît, pouvez-vous éviter d'employer les termes "la maman" ou "le papa" qui sont de l'ordre de l'intime, du familier ou de l'infantilisme, surtout lorsqu'il est question de la "maman" du présumé assassin.

Bientôt, nous pourrons lire "Le fifils à sa maman faisait des mamours à son chien lorsque sa maman commettait l'atroce"

C'est lénifiant et ce n'est pas digne d'un journal d'élite.

lundi 25 juillet 2011

Un cortège de rois qui gravissent le grand escalier de l'Histoire

Je lis La spectaculaire histoire des rois des Belges. C'est léger, c'est recommandé par la Dh. C'est aussi rempli d'anecdotes croustillantes. L'auteur sait se retirer pour laisser place au feuilletoniste. Je recommande cette histoire de la Belgique vue par ces souverains, qui m'évoque parfois Roman Roi. C'est en tous cas bien documenté, je crois et mieux que du Z comme Zemmour ou du A comme mon doux Adler. J'apprécie d'autant plus que les belges ont dans leur patrimoine la fantaisie des patronymes, je reconnais parfois des noms de rues dont j'ignorais dans ma crasse ignorance toute l'existence, comme Wappers, Madou ou Surlet de Chokier, Erasme de son prénom.