"J'ai des scrupules que je dois avouer avant tout. Je n'ai mis qu'une journée à lire ce livre qui a coûté à l'auteur six ans de travail et de soins". Voici ce que disait en introduction Emile Zola dans une critique de L'éducation sentimentale, livre de Gustave Flaubert. A mon tour, je dois rassurer l'auteur, je mettrai sept ans à lire ce livre qui lui a coûté six ans de travail.
A ce jour, je suis parvenu sans peine jusqu'à la quatre-vingt dixième page, il faut dire que je vais toujours très vite dans les premières pages, la curiosité m'emporte, puis cela devient plus laborieux. Je m'essouffle et le plaisir de lecture s'en trouve altéré, hélas. J'aimerais lire de telles sommes en très peu de temps.
A ce jour, je suis parvenu sans peine jusqu'à la quatre-vingt dixième page, il faut dire que je vais toujours très vite dans les premières pages, la curiosité m'emporte, puis cela devient plus laborieux. Je m'essouffle et le plaisir de lecture s'en trouve altéré, hélas. J'aimerais lire de telles sommes en très peu de temps.
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