Branchez vos écoutilles. Vers 17 heures, France-Culture organise aujourd'hui, sur ses ondes, un débat autour du livre de Renaud Camus, "la grande déculturation"avec l'écrivain en personne. Lui qui se plaint de n'être un bon debater devra affûter tout de même son élocution car il sera confronter au tenace Girard et au chef de la station, David Kessler, descendu de son estrade vers l'arène où l'ont poussé imprudemment Martel et Élisabeth Lévy au cours de passe d'armes que vous n'ignorez pas, plus ou prou. Renaud Camus n'est pas finkie, ni zemmour et risque fort de s'embourber en terrains hostiles (ce n'est pas son métier par ailleurs).
J'ai lu le livre sur internet en Janvier, je l'ai imprimé en soixante-dix feuillets, puis j'en ai oublié la teneur, ce débat sera l'occasion d'un rafraîchissement de la mémoire. Ce n'est pas le compte-rendu de Martel sur non-fiction.fr qui m'y a aidé.
Je m'étonne pourquoi ce livre-ci est sorti du silence dans lequel on parvient facilement à confiner les oeuvres de Camus. Certains franc-tireurs commandités ont essayé de faire mousser leur petite conscience en l'enterrant vivant (raciste et minable selon Martel, Passouline sur son blog), mais c'est à croire qu'à l'instar des films des frères Coen où le cadavre mal tué bouge encore, la police de la pensée ne soit que des petits-bras nickelés.
J'ai lu le livre sur internet en Janvier, je l'ai imprimé en soixante-dix feuillets, puis j'en ai oublié la teneur, ce débat sera l'occasion d'un rafraîchissement de la mémoire. Ce n'est pas le compte-rendu de Martel sur non-fiction.fr qui m'y a aidé.
Je m'étonne pourquoi ce livre-ci est sorti du silence dans lequel on parvient facilement à confiner les oeuvres de Camus. Certains franc-tireurs commandités ont essayé de faire mousser leur petite conscience en l'enterrant vivant (raciste et minable selon Martel, Passouline sur son blog), mais c'est à croire qu'à l'instar des films des frères Coen où le cadavre mal tué bouge encore, la police de la pensée ne soit que des petits-bras nickelés.
1 commentaire:
Pas terrible, comme je le craignais.
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