dimanche 30 octobre 2011

La vie continue

J'ai pensé dernièrement à plusieurs nouvelles que je pourrais rédiger à la manière de Borgès. L'une d'elle raconterait les angoisses d'un français dont un ami a emménagé en un endroit qui se situe à proximité de l'épicentre d'un tremblement de terre qui vient juste de frapper. Il essaie de le contacter par mail. Or, il est de notoriété que son ami n'a jamais eu pour habitude de rédiger ou répondre aux courriers. Lui est inquiet cependant que les autres amis s'épargnent ces soucis, n'étant pas pour quelques-uns, au courant de ce lointain tremblement de terre ou pour d'autres, certains, qu'il ne faut jamais s'inquiéter de ses absences de réponses. Qui a raison?
Il n'y aura pas de réponse.

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