Vous vous demandez tous depuis mon dernier coup de clairon, comment va ma vie sans football, handicapée qu'elle serait par de lourdes résolutions.
On ne peut mieux.
Depuis lundi, j'ai repris les échecs (il était temps), et hier, j'ai essayé de regarder une vidéo extraite du site d'Arte. Ce midi même, j'ai déjeuné avec une connaissance ancienne, avant de remettre cela demain avec une joyeuse bande d'informaticiens dans un restaurant coréen. Par ailleurs, le destin du docteur Jivago m'accompagne plus longuement. Et dans un pur esprit de déconne qu'on ne croit que dévolu au footeux, je vais afficher anonymement la première page du Capital dans les toilettes de mon entreprise.
Je ne m'informe plus que par le biais de The economist, je pense même ouvrir une page personnelle résolument sérieuse et décente.