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vendredi 20 mai 2011
samedi 28 mars 2009
Le grand macabre, le jour d'avant
La pression monte. Le critique théâtre de la dh n'a pas bien dormi. Il s'agit d'un événement à Bruxelles. J'ai croisé une collègue de travail, elle était enchantée. Il y aura une certaine excitation dans la salle, palpable. Je connais un peu l'histoire et j'avoue que cela ne me déplairait pas de la voir adapter au théâtre. Un monde inspiré de Brughel devrait me ramener à l'enivrante lecture du chagrin des belges. J'ai entendu à la radio quelques pièces de Ligeti et cela ne m'a pas déplu. Ce devrait être bon. Je crains un peu pour nos places et le confort qu'elles peuvent ne pas procurer.
vendredi 27 mars 2009
Le grand macabre
On me dit que le Grand Macabre, qui se tient à la Monnaie est incontournable. J'entends partout éloges et célébrations enthousiastes. Je réponds : hum. Attendons de voir. L'opéra de Ligeti doit passer d'abord sous les fourchettes caudines du critique théâtre de la dh (c'est moi).
Le directeur Peter de Caluwé a demandé à la fura dels Baus d'adapter l'opéra de Ligeti à la Monnaie. Le fait que la pièce qui inspire l'oeuvre est une pièce de Michel de Ghelderode, un vieux belge dont le génie est oublié est un bon prétexte pour participer à l'engouement général. Comme tout bon critique de théâtre d'un tabloïd bruxellois qui se respecte, je me suis procuré, difficilement, le livre original, La ballade du grand macabre. Je vais le lire, afin de m'imprégner de l'atmosphère de ce dramaturge oublié (et peu joué). Le fait aussi que ce soit la Fura dels baus qui s'y emploie ajoute à la curiosité, il s'agit d'une troupe inventive, stimulante et catalane. J'ai toujours eu envie de me pencher sur leur oeuvre, que j'associe, peut-être à tort, à celle d'Alain Platel. Le fait, enfin, que ce soit l'unique opéra de Ligeti, désignée comme une oeuvre majeure de notre siècle pousse le critique théâtrale de la dh à sortir de sa tanière et de la lecture de son quotidien favori. J'irai dimanche et pour l'événement, je porterai cravate, je prendrai quelques notes de la séance explicative afin de les restituer à mon abonné n°1 (que je salue, salut à toi, JL).
Le directeur Peter de Caluwé a demandé à la fura dels Baus d'adapter l'opéra de Ligeti à la Monnaie. Le fait que la pièce qui inspire l'oeuvre est une pièce de Michel de Ghelderode, un vieux belge dont le génie est oublié est un bon prétexte pour participer à l'engouement général. Comme tout bon critique de théâtre d'un tabloïd bruxellois qui se respecte, je me suis procuré, difficilement, le livre original, La ballade du grand macabre. Je vais le lire, afin de m'imprégner de l'atmosphère de ce dramaturge oublié (et peu joué). Le fait aussi que ce soit la Fura dels baus qui s'y emploie ajoute à la curiosité, il s'agit d'une troupe inventive, stimulante et catalane. J'ai toujours eu envie de me pencher sur leur oeuvre, que j'associe, peut-être à tort, à celle d'Alain Platel. Le fait, enfin, que ce soit l'unique opéra de Ligeti, désignée comme une oeuvre majeure de notre siècle pousse le critique théâtrale de la dh à sortir de sa tanière et de la lecture de son quotidien favori. J'irai dimanche et pour l'événement, je porterai cravate, je prendrai quelques notes de la séance explicative afin de les restituer à mon abonné n°1 (que je salue, salut à toi, JL).
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