Je viens de maladroitement effacer tout mon petit texte sur ma lecture de Tlön Uqbar Orbis Tertius de Borgès. Cela doit faire une demi-douzaine d'année que cela ne m'était pas arrivé. Au début de notre intense manipulation du courriel, c'était monnaie courante et a provoqué des ruptures d'anévrisme au moins aussi fréquente que la disquette. Je suis sidéré.
1 commentaire:
J'avais recopié deux phrases de la nouvelle. Cela restera pour moi.
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