vendredi 6 juin 2008

Se faire souffler dans nos bronches l'opium du peuple

Mon abstinence au football se porte bien. Malgré quelques difficultés à mener une conversation avec les frères, je trouve que je m'en sors correctement. Je n'ai plus fait une connection à l'équipe depuis trois mois. C'est plus simple que je ne l'imaginais. Par contre, le défi sera ces jours prochains d'échapper à l'inébranlable propagande de l'événement. Même ma station de musique classique en parle, c'est dire dans quelle sorte de couvent on doit se murer pour échapper à l'emprise de cet opium qu'on nous administre de force.

Qu'on se rassure, les voyants commerciaux sont déjà au vert, ils n'ont donc pas besoin de moi.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Agréable votre blog, et si bien écrit! Continuez!