Bonn est la ville étrangère qui m'accueillit dans mes jeunes années d'étudiant. Hôte de la Friedrich-Wilhems Universität, j'ai pu quelques instants penser marcher dans les pas de F.Nietssche, Marx ou Schumpeter et même Beethoven, régional de l'étape, avant que mon piètre niveau linguistique ne me ramène à de plus prosaïques problématiques. Je retourne en ce pays avec la nostalgie des rudes temps, car comme disait l'épistolier, "vous verrez, vous direz que la galère, c'était le bon temps".
1 commentaire:
J'ai trouvé pourtant que c'était mieux sans la galère. Merci encore.
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